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Les
travaux d'envergure ne reprennent que vers 1820 avec la construction d'un cavalier
casematé sur le front de Grenoble pour renforcer sa défense.
Un
obstacle cylindrique en maçonnerie, appelé "demoiselle", est dressé
verticalement sur l'arête d'une des traverses qui barrent le fossé. Les assaillants
voulant franchir cette traverse étaient obligés d'embrasser la "demoiselle"
pour la contourner, d'où son nom.
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Dans
les années 1870, l'attitude de l'Italie après la défaite de 1870 conduit à la
construction de 6 forts autour de Grenoble, dont ceux du Murier et du Saint
Eynard. Au cours du XIXe siècle,
les défenses du Fort-Barraux sont également reconsidérées et
renforcées.
Le Fort servira de
prison pendant les 2 guerres mondiales, puis en 1947, il sera reconverti en dépôt de
munitions. Le Fort est désaffecté en 1985 et la commune de Barraux
l'achète.
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Le Fort jusqu'à nos jours
